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NEWWORK

08. novembre 2022

The new old work – Mais une chose reste toujours la même !

Vous l’avez remarqué, le titre joue sur les termes « New Work » et « Old Work ». Mais qu’est-ce qui fait que le travail est « nouveau » et qu’est-ce qui était mauvais dans « l’ancien » ? Tout le monde parle de travail agile dans des structures flexibles. Il y a beaucoup d’entreprises qui suppriment les bureaux fixes pour les employés et dissolvent des structures entières de département. Avec pour objectif d’éviter les routines et d’abolir la pensée en silo. Beaucoup en ont profité, et pas seulement en période de pandémie, car il est ainsi possible à presque toutes les entreprises d’opérer avec succès depuis leur bureau à domicile – du moins pendant un certain temps !

L’idée du « New Work » vient d’ailleurs du philosophe social austro-américain Frithjof Bergmann. Dès le début des années 1980, Bergmann était convaincu que nous étions en train de passer d’une société industrielle à une société de la connaissance. Les structures de travail classiques doivent céder la place à de nouvelles formes de travail plus flexibles. Les nouvelles technologies, la numérisation, l’automatisation et la mise en réseau mondiale offrent de toutes nouvelles opportunités. De nombreuses entreprises montrent aujourd’hui à quel point Bergmann avait raison de faire cette observation à l’époque déjà. « New Work » est ici l’incarnation du processus qui se compose de quatre points :

1. travailler de manière décentralisée: Travailler ensemble sans frontières nationales, plus d’heures de pointe dans les mégapoles le matin, plus de course d’un lieu de réunion à l’autre. Dans le « New Work », la proximité géographique avec les collègues et les supérieurs n’est plus déterminante.

2. nouvel espace de travail: même dans le « New Work », les entreprises ont besoin de bureaux et de postes de travail centraux, car ils offrent un point de contact important et servent également à l’identification avec l’entreprise. Cependant, à l’avenir, ils seront conçus différemment : des espaces ouverts alterneront avec des boxes téléphoniques et des zones de repos.

3. travailler de manière autonome: Au lieu de lignes de rapport strictes et d’instructions de travail rigoureuses, il y a des hiérarchies plates et un style de direction d’égal à égal. Les nouvelles relations sont marquées par l’estime plutôt que par des instructions de travail.

4. équilibre entre vie professionnelle et vie privée : le concept de travail décentralisé permet une approche plus flexible et donc une meilleure conciliation entre vie familiale et vie professionnelle.

Il est absolument stupéfiant que cette théorie ait déjà plus de quarante ans ! Du côté pratique, les « nouveaux espaces de travail », Anita Gödiker est une pionnière sur le marché allemand depuis plus de vingt ans. Elle n’a jamais cru aux immenses espaces de coworking, dont l’accent était certainement plus mis sur la « communauté », c’est-à-dire sur le fait d’être ensemble, que sur le fait de travailler de manière concentrée. « Nous avons également des espaces de coworking dans nos sites. Mais nous les avons réduites l’année dernière et nous les avons dotées d’un nouveau concept. J’ai pu observer que les espaces du milieu étaient toujours occupés en dernier. En fait, personne ne voulait travailler au milieu ». Car une chose demeure – dans le New ou l’Old Work – il n’y a pas de succès sans concentration ».


Sans concentration, pas de succès. Jamais.

La frontière entre l’autonomie créative et le chaos inefficace est mince. Lorsque des structures sont dissoutes, de nouvelles règles de collaboration doivent être convenues. Nous sommes encore aujourd’hui dans une phase d’expérimentation. Il y a deux ans déjà, Anita Gödiker a développé une nouvelle approche pour les espaces de travail flexibles de Satellite Office, donnant ainsi une grande orientation dans un secteur diffus et fragmenté. La pureSilent®-line a été développée en collaboration avec des partenaires solides issus du monde scientifique, artisanal et technique.

Au lieu de grands open spaces, il y a de nombreuses petites zones de breakout protégées, dont certaines sont même insonorisées, pour une grande discrétion et un travail productif. Des cubes ultramodernes et climatisés permettent le « Silent Dialog ». Pour le « deep working », il y a des postes de travail dans des zones protégées et des petits bureaux. L’acoustique joue un rôle central, car elle assure le bien-être et un environnement de travail propice à la concentration.

Tout cela n’est pas de la musique d’avenir, mais déjà mis en œuvre. Les nouveaux sites pureSilent® de Francfort et de Hambourg ont été ouverts cette année, le « KUD15 Gloria Berlin » suivra à la mi-octobre. Tous les autres sites seront progressivement équipés d’éléments individuels de la pureSilent®-line. Car c’est dans le calme que réside la force : « pureSilent® » – de nouvelles voies dans le coworking !