Ce que signifie réellement un air de qualité pour le travail quotidien
Love is in the air – c’est beau, cela aide aussi certainement à lutter contre les maux de tête et la mauvaise humeur, mais cela ne nous aide que partiellement à échapper aux vagues de rhume en automne et en hiver. Cette année, l’année Corona, un air de qualité sur le lieu de travail est un thème particulièrement important. Avec quelques conseils, il est assez facile de créer un bon climat au bureau.
Pour Satellite Office, le bon air est un thème important. Partout, les équipes veillent à ce que le climat soit excellent. Heureusement, il y a suffisamment d’espace dans tous les sites et il n’y a pas trop de monde dans une pièce en même temps. Mais vous pouvez aussi faire beaucoup pour respirer un air sain ! Nous vous donnons cinq conseils pour respirer un air sain au bureau.
Une aération suffisante des bureaux réduit le risque d’infection. Et cela vaut pour tous les agents pathogènes, pas seulement pour le coronavirus ! L’aération réduit le nombre de fines gouttelettes contenant des agents pathogènes dans l’air et diminue ainsi le risque d’infection dans les locaux. Un bureau avec une fenêtre qui s’ouvre vaut tout simplement son pesant d’or en automne et en hiver ! En effet, plus l’air extérieur est introduit dans les pièces, mieux c’est. Il peut s’agir d’air frais et naturel provenant de l’extérieur, mais aussi de systèmes de ventilation mécanique comme les climatiseurs, etc. Le renouvellement de l’air est ici le plus important. Il existe quelques bons conseils pour l’aération naturelle :

Conseil n° 1 : ce qui compte, c’est la régularité. Il est recommandé d’aérer avant les réunions ou quelques minutes avant de s’asseoir à son bureau. Pendant le séjour, ne pas oublier d’aérer de temps en temps et aérer à nouveau quelques minutes après la fin du travail ou de la réunion. Plus c’est fréquent, mieux c’est !
Conseil n° 2 : il vaut mieux ouvrir complètement la fenêtre que de la laisser entrebâillée. Cela permet de réduire considérablement le nombre de virus dans la pièce.
Mais le climat intérieur, c’est-à-dire ce que nous ressentons lorsque nous entrons dans un bureau, ne dépend pas uniquement de l’aération. Il se compose de la température, de l’humidité, de la dynamique de l’air et de la qualité de l’air. Nous pouvons vérifier si le climat intérieur du bureau est bon ou mauvais en nous basant sur notre propre bien-être. Fatigue, troubles de la concentration, maux de tête et autres symptômes similaires sont souvent des indices de la mauvaise qualité de l’air.
La température peut être un facteur de malaise. Même s’il s’agit d’un sentiment subjectif – il y a d’ailleurs souvent des discussions à ce sujet au bureau – la température de 21 à 22° C est considérée comme optimale pendant les périodes les plus froides de l’année. Si elle est supérieure ou inférieure, la concentration et les performances diminuent. C’est pourquoi
Conseil n° 3 : mesurez la température ambiante de votre bureau, surtout en automne et en hiver, et veillez à ce qu’elle se situe toujours entre 21 et 22°C. Si vous ne pouvez pas mesurer la température ambiante, vous risquez de vous brûler.
Un air de qualité implique également une humidité de l’air adéquate. Les mesures ne sont pas faciles sans appareils, mais on remarque par exemple un air trop sec aux fréquentes charges électrostatiques. Si l’humidité de l’air est trop faible, cela a également des conséquences sur la santé. En effet, cela signifie que les muqueuses se dessèchent rapidement et sont donc plus vulnérables aux agents pathogènes. De plus, elles se propagent mieux dans un air sec que dans un air modérément humide.
Conseil n° 4 : si vous avez l’impression que l’air de votre bureau est trop sec, placez un bol d’eau sur le chauffage. Si vous enrichissez l’eau d’une goutte d’huile de menthe poivrée, elle est même efficace contre les maux de tête. En effet, l’huile de menthe poivrée est un analgésique entièrement naturel – notamment en cas de douleurs de tension.
Conseil n° 5 : vous pouvez reconnaître un taux d’humidité trop élevé dans une pièce à la formation de moisissures dangereuses. Mais avant d’en arriver là, une bonne et suffisante ventilation peut faire la différence. Laissez également les parapluies et les vestes mouillés au vestiaire, ne les emportez pas au bureau !
Le climat intérieur optimal est un aspect important de l’ergonomie. C’est un sujet auquel tout « travailleur de bureau » devrait s’intéresser. En effet, un air de qualité est synonyme de bien-être, de capacité de concentration et donc de bons résultats au travail. Attaquez-vous à l’automne !
